Par conséquent, une fois ceci constaté il est temps de se consacrer à la création d'emplois et de redonner du pouvoir d'achat aux ménages pour relancer l'économie par la demande.
Pour le pouvoir d'achat, Benoît Hamon prévoit le relèvement du SMIC et des minima sociaux comme l’allocation adulte handicapé (AAH) qui serait revalorisée de 10%, ainsi que le minimum vieillesse. De plus l’ouverture du droit à allocation familiale serait effectuée dès le premier enfant.
Enfin, la mesure emblématique de Benoît Hamon serait mise en place, il s'agit, vous l'aviez deviné, de la création du RUE, le revenu universel d’existence, qui sera versé aux bénéficiaires actuels du RSA, aux étudiants, indépendants et salariés dont les revenus sont inférieurs à 2200€ nets. Cette mesure entrerait en vigueur dès le 1er janvier 2018. Environ 19 millions de Français, soit 30% de la population seraient concernés par cette disposition.
Le montant du revenu universel serait plafonné à 600 euros par mois avant d’être augmenté à 750 euros. Il viendrait en remplacement du RSA et de la prime d’activité.
Tout ceci est bien évidemment financé en totalité grâce notamment à l’augmentation de la taxe sur les superprofits des banques (5 milliards €/an), la lutte contre l’évasion et l’optimisation fiscales à hauteur de 11 milliards € et une redéfinition du périmètre du CICE et du pacte de responsabilité pour 10 milliards €. Ces 26 milliards d’euros de recettes supplémentaires seront acquis au fil du quinquennat, auxquels il faut ajouter 5 milliards € du fait du regroupement des centrales publiques d’achat qui est une mesure préconisée par Arnaud Montebourg lors de la campagne des primaires.
Benoît Hamon et les économistes qui l'entourent prévoient que, plus de pouvoir d’achat entraine plus de consommation donc plus d’emplois créés. Bref c'est la relance par la demande et plus par l'offre en totalité comme l'ont fait François Hollande et Emmanuel Macron en créant le CICE et le Pacte de responsabilité. Ce regain de consommation amènerait 2 millions d’emplois supplémentaires sur l’ensemble du quinquennat avec in fine un impact positif sur les finances publiques de l’ordre de 30 milliards par an à l’horizon 2022.
Et tout cela sans augmentation de l'impôt sur les revenus, ni d'augmentation de la CSG au contraire d'autres candidats qui en plus veulent supprimer l'ISF partiellement ou en totalité et supprimer des dizaines et centaines de milliers de postes de fonctionnaires.
Pour le pouvoir d'achat, Benoît Hamon prévoit le relèvement du SMIC et des minima sociaux comme l’allocation adulte handicapé (AAH) qui serait revalorisée de 10%, ainsi que le minimum vieillesse. De plus l’ouverture du droit à allocation familiale serait effectuée dès le premier enfant.
Enfin, la mesure emblématique de Benoît Hamon serait mise en place, il s'agit, vous l'aviez deviné, de la création du RUE, le revenu universel d’existence, qui sera versé aux bénéficiaires actuels du RSA, aux étudiants, indépendants et salariés dont les revenus sont inférieurs à 2200€ nets. Cette mesure entrerait en vigueur dès le 1er janvier 2018. Environ 19 millions de Français, soit 30% de la population seraient concernés par cette disposition.
Le montant du revenu universel serait plafonné à 600 euros par mois avant d’être augmenté à 750 euros. Il viendrait en remplacement du RSA et de la prime d’activité.
Tout ceci est bien évidemment financé en totalité grâce notamment à l’augmentation de la taxe sur les superprofits des banques (5 milliards €/an), la lutte contre l’évasion et l’optimisation fiscales à hauteur de 11 milliards € et une redéfinition du périmètre du CICE et du pacte de responsabilité pour 10 milliards €. Ces 26 milliards d’euros de recettes supplémentaires seront acquis au fil du quinquennat, auxquels il faut ajouter 5 milliards € du fait du regroupement des centrales publiques d’achat qui est une mesure préconisée par Arnaud Montebourg lors de la campagne des primaires.
Benoît Hamon et les économistes qui l'entourent prévoient que, plus de pouvoir d’achat entraine plus de consommation donc plus d’emplois créés. Bref c'est la relance par la demande et plus par l'offre en totalité comme l'ont fait François Hollande et Emmanuel Macron en créant le CICE et le Pacte de responsabilité. Ce regain de consommation amènerait 2 millions d’emplois supplémentaires sur l’ensemble du quinquennat avec in fine un impact positif sur les finances publiques de l’ordre de 30 milliards par an à l’horizon 2022.
Et tout cela sans augmentation de l'impôt sur les revenus, ni d'augmentation de la CSG au contraire d'autres candidats qui en plus veulent supprimer l'ISF partiellement ou en totalité et supprimer des dizaines et centaines de milliers de postes de fonctionnaires.
Le 23 avril prochain, votez et faites voter
Benoît Hamon !
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