Voilà donc qu'un professeur de philo enseignant en Suisse, se déclarerait candidat à la primaire à gauche. Allons bon !
Vincent Peillon, puisqu'il s'agit de lui, souhaite donc devenir Président de la République, sans projet, sans idée et éloigné des préoccupations des Français travaillant en France. On aura tout vu !
Vincent Peillon, puisqu'il s'agit de lui, souhaite donc devenir Président de la République, sans projet, sans idée et éloigné des préoccupations des Français travaillant en France. On aura tout vu !
Remarquez avec lui on en a vu d'autres puisqu'il est devenu avec le temps le spécialiste de la trahison politique de "ses amis". Une première fois au congrès PS du Mans ou il trahit Montebourg pour aller à la soupe et rejoindre Hollande à la direction du PS et une seconde fois en 2009 ou il a abandonné Ségolène Royal pour se rallier à Martine Aubry alors première secrétaire du PS.
Bref, si brillant soit-il, Vincent Peillon qui se déclare soudainement candidat n'est sans doute pas celui qu'il faut pour le pays et je doute que lors de cette courte campagne électorale des primaires nous en sachions beaucoup plus sur ses intentions politiques. Un projet de cet ampleur pour la France ne se construit pas en quelques jours.
C'est un spécialiste en contorsions politiciennes et si l'on en croit les sources autorisées qui s'autorisent à penser, cette candidature serait téléguidée par des esprits revanchards après la défection de François Hollande. La cible visée étant Manuel Valls qui de fait perdrait des suffrages au bénéfice de Peillon. Il s'agirait donc d'une candidature pour faire perdre les autres mais jamais pour gagner. Quand on n'en arrive à ce niveau, alors même qu'il y a tant de difficultés dans notre pays, alors on touche le fond ! C'est proprement inadmissible,
La primaire à gauche n'est pas un congrès du PS !
Et puis preuve que cette candidature vient de nulle part, n'est-ce pas Peillon qui déclarait au printemps dernier :
Alors à sa place je continuerai tranquillement à donner des cours de philo ... seul domaine où, au fond, il excelle.
La primaire à gauche n'est pas un congrès du PS !
Et puis preuve que cette candidature vient de nulle part, n'est-ce pas Peillon qui déclarait au printemps dernier :
"J'ai fait vingt-deux ans de congrès et de bureaux nationaux du PS, d'élections, de campagnes, de petites phrases... Ce n'est plus mon envie ni mon agenda"
Alors à sa place je continuerai tranquillement à donner des cours de philo ... seul domaine où, au fond, il excelle.
RépondreSupprimerMais non, attends, faut voir ou plutôt entendre ce qu'il a à nous dire....ça peut être le Fillon de gauche ou le Trump français ...
Oui là, tout mais pas ça. ;-)
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