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Jacques Delors, ou Monsieur Sans-Couilles : je me souviens encore de sa piteuse dérobade de 1995.
RépondreSupprimerEn fait, la seule fois où il s'est découvert des gonades en état de marche, ç'a été pour nous donner Martine Aubry : merci du cadeau !
"Sans-couilles". C'est marrant comme des hommes politiques de conviction qui refusent de se compromettre sont jugés par certains électeurs qui préfèrent des candidats "couillus". Et c'est comme ça qu'on élit Sarkozy, Berlusconi, Poutine, Orban, Trump. Ouais ! ça c'est des mecs !
RépondreSupprimerCette citation est particulièrement mensongère dans la bouche d'un homme qui été assez "couillu" pour tuer la gauche française et donc réduire le débat économie-politique européen au seul libre-échange. Pour Delors "maitriser la mondialisation" c'est mettre l'Union Européenne sur un pied d'égalité avec l'Amérique et la Chine. Trop tard, il fallait faire l'Europe politique avant, suivre les conseils de Mendès France: «...J’avais une conception plus constructive que j’avais étudiée dès 1944, à Alger, comme je vous l’ai raconté. J’aurais préféré voir créer des unités de production communes puissantes dans les domaines situés en aval : trains de laminoir, industries atomiques, recherche, énergie...Je pensais à une politique collective et active de la reconstruction et des investissements. Il y aurait eu ainsi un ciment d’interdépendance et d’unification de plus en plus fort avec le temps. Je continue à croire à la valeur d’une approche de ce genre. Un grand programme d’investissements arrêté en commun pour les branches essentielles assurerait, en peu d’années, une diminution substantielle de nos faiblesses structurelles (le cas le plus net, c’est celui des centrales nucléaires qui donnent lieu aux contradictions que vous connaissez). Aujourd’hui, les grandes entreprises, et d’abord les sociétés multinationales, se développent au gré de leurs propres plans et ne contribuent pas du tout à nous défendre mieux contre les pressions et les à-coups du dehors, au contraire. » Extrait du livre "Choisir" (1974).
RépondreSupprimerDelors a choisi d'oeuvrer en faveur des "grandes entreprises":
http://www.fakirpresse.info/Jacques-Delors-l-homme-des-firmes