Voilà notre beau pays arrivé à 2.000 milliards de dette sans que l'on sache réellement si cette courbe s'infléchira un jour.
Personnellement, je ne crois pas un seul instant que notre pays sera en capacité un jour de rembourser la totalité de cette dette qui il faut bien le dire enrichit les banquiers qui prêtent de l'argent à l'Etat avec une garantie certaine d'être remboursés.
Alors n'est-il pas temps qu'enfin une solution drastique soit employée partout dans le monde ?
Car tout de même voilà des années que cela dure et perdure :
- crise des subprimes
- crise financière
- crise économique
- crise de liquidité bancaire
- crise de solvabilité bancaire
- crise monétaire
- crise immobilière
- crise industrielle
- crise boursière
- crise de la dette
- crise de l'euro
- crise de la croissance
En moins d'une décennie l'Europe a vécu de plans de sauvetage à coup de milliards d'euros ou de dollars en plan d'austérité sans précédent rien n'y fait, la crise est toujours là et ce sont toujours les citoyens qui payent la facture des inconséquences des banksters américains qui sont à l'origine de nos maux d’aujourd’hui.
Cette crise trouve en effet son origine dans le dégonflement de la bulle immobilière américaine des années 2000 et des milliards de pertes des établissements financiers dont certains ont fait faillite ou ont été sauvés par grâce à une "nationalisation" par l'Etat fédéral américain, tout cela engendré par par la crise des subprimes.
Ratio dette/PIB 2014 (source)
Maintenant que "les marchés" ont confiance, en Europe nous vivons une crise due au manque de croissance car tout est axé sur la résorption des déficits publics pour rentrer dans les fourches caudines du traité de Masstricht (3% du PIB), les consommateurs européens ne consomment plus, les producteurs ne produisent donc plus, donc moins de main d'oeuvre est nécessaire, donc le chômage grimpe.
Et pendant ce temps là, on abreuve les entreprises de dizaines de milliards d'exonération de charges mais à qui demande t-on de faire des efforts les plus violents ? Les citoyens.
On baisse ici ou là les prestations sociales, on limite ou supprime les revalorisation des retraites, des salaires, on baisse carrément les salaires et retraites et prestations chômage dans certains pays..... bref l'austérité est en place mais chut en France il parait que ce n'est pas le cas, il ne faut surtout pas prononcer ce mot.
On baisse ici ou là les prestations sociales, on limite ou supprime les revalorisation des retraites, des salaires, on baisse carrément les salaires et retraites et prestations chômage dans certains pays..... bref l'austérité est en place mais chut en France il parait que ce n'est pas le cas, il ne faut surtout pas prononcer ce mot.
Alors au lieu de cela, n'est il pas temps de faire marcher la planche à billets partout dans le monde et en même temps pour effacer toutes les dettes de tous les Etats de la planète pour repartir à zéro partout au même moment.
Les spécialistes vous diront qu'une telle mesure créerait de l'inflation, mais que préférez vous : Vous serrer la ceinture ou un peu d'inflation ?
La monétisation de la dette est la meilleure solution car dans le cas contraire :
- Combien de dizaines d'années faudra t-il aux peuples pour régler les dettes de leur pays ?
- Combien de plans d'austérité seront nécessaire ?
- Combien de sacrifices à faire ?
Le capitalisme libéral a pris en gros coup sur la tête en moins de dix ans, la mondialisation heureuse prônée par les libéraux ou socialistes déguisés en libéral comme Pascal Lamy est un échec pour les peuples européens que les dirigeants politiques sont incapables de protéger en prônant par exemple pour certaines activités industrielles, une "démondialisation" permettant de rapprocher les lieux de production de ceux de consommation.
Il est plus que temps de tirer les enseignements de ces échecs successifs et de faire autrement en repartant d'une page vierge.
Misère de misère....
RépondreSupprimerOui comme tu dis ...
SupprimerT'as pas cent milliards ? C'est pour rester propre. Auprès de mes banquiers...
RépondreSupprimerDepuis Louis je ne sais plus combien et les Templiers, nos gouvernants ont la bonne vieille technique de la banqueroute.
On peut moderniser le procédé. Le bûcher et le supplice de la roue ne sont pas indispensables... Bien que cela ébaudirait grandement la foule qui l'a tout de même un poil saumâtre...
C'est toujours la faute à Sarko?
RépondreSupprimerson bilan calamiteux n'a pas varié d'un pouce et en ce qui concerne la dette, personne, sauf son fan club, ne conteste qu'elle a progressé de 500 à 600 milliards lors de son quinquennat.
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