Eh oui, il est bon de rappeler pour les plus jeunes que la vie politique n'a pas commencée avec la montée en puissance puis l'élection de Nicolas Sarkozy et de sa cohorte d'amis franchement opposés à l'immigration et l'immigré.
Voyez plutôt Jacques Chirac alors dans l'opposition, en juin 1991, parler de regroupement familial, de seuil de tolérance dépassé, de prestations sociales, de 3 épouses, de bruit, d'odeur.... beurk !
Sarkozy, Copé, Guéant et Hortefeux font figure d'enfants de coeur à côté.
Sarkozy, Copé, Guéant et Hortefeux font figure d'enfants de coeur à côté.
Le discours de Jean-François Copé stigmatisant les immigrés n'est donc pas une nouveauté pour l'UMP et la droite française il est dans la ligne de celui de Jacques Chirac qui tenait ce genre de propos au début des années 90.
Le RPR d'hier et l'UMP d'aujourd'hui emploient les mêmes mots avec plus de 20 ans d'écart.......
L'UMP cherche aujourd'hui comme hier à glaner les voix des électeurs du Front National. Il faut s'en souvenir.
Comme quoi, ils feraient bien de renouveler leurs discours... Parce que pour ce qui est de récupérer l’électorat du FN, ils ont fait et se sont loupés.. enfin après tout qu'ils continuent ainsi...
RépondreSupprimerJean François Cope est il français ou un immigré en herbe. Ses origines ...comment peut-il parler de l'immigration en France? Et si à son époque on avait appliqué les mêmes règles qu'il soutient aujourd'hui serait français et avoir les mêmes chances pour devenir ce squ'il est au nom de la république? Un immigré restera un immigré. '' Tout flatteur vit au dépeint de celui qui l'écoute ''. Ses propos sortent de la merde et d'une vengeance de ses passes lointains. La haine contre les autres et patce qu'il veut prendre les voix du front national au moment ou les français ne veulent les gens comme lui.
RépondreSupprimerMerci pour cette piqure de rappel dont beaucoup aurait bien besoin !
RépondreSupprimerLundi 5 novembre 2012 :
RépondreSupprimerCompétitivité : les mesures chocs du FMI pour la France.
Pour remédier au «problème de compétitivité» de la France, les experts du FMI préconisent une baisse des charges financée par une hausse de la TVA, un assouplissement du marché du travail, et la baisse du smic.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/11/05/20002-20121105ARTFIG00502-competitivite-les-mesures-chocs-du-fmi-pour-la-france.php
La baisse du smic ?
Et pourquoi pas la baisse du salaire de la patronne du FMI ?
Voilà qui ne devrait pas arranger les affaires de Christine Lagarde. Quelques jours après qu'elle a provoqué un véritable tollé en conseillant aux Grecs, dans un entretien au quotidien britannique The Guardian, vendredi 25 mai, de "s'entraider mutuellement" en "payant tous leurs impôts" – l'obligeant à s'expliquer sur sa page Facebook –, plusieurs internautes ont rappelé, lundi 28 mai, que la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) ne paie elle-même pas d'impôt sur le revenu, malgré un salaire annuel de 380 939 euros.
Comme l'indiquait le site "Tout sur les impôts" en juillet 2011, la directrice générale du FMI bénéficie en effet d'un statut fiscal spécifique en qualité de fonctionnaire internationale. Tous ses revenus et traitements issus du FMI ne sont pas imposables.
http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/05/28/christine-lagarde-non-plus-ne-paie-pas-d-impots_1708654_3214.html