Le Triple zéro de Nicolas Sarkozy et de la droite

Voici un rappel de service pour tous les bonimenteurs qui osent ou bien oseraient dire ou suggérer que la perte du triple A (selon Standard & Poors qui abaisse la note de la France à AA+ avec perspective négative) serait une des conséquences de la gestion du pays par la gauche.

Ce joli graphique immédiatement compréhensible par chacun est très parlant et ne nécessite pas d'autres explications chacun voit d'où et de qui viennent les responsabilités.


Zéro pour la Dette
Zéro pour le Deficit
Zéro pour le Chômage

A ce triple zéro ajoutons

Zéro pour la Pauvreté
Zéro pour la Désindustrialisation
etc.. et etc.. la liste est longue, trop longue

Au final Nicolas Sarkozy aura échoué sur tous les sujets lors de son mandat.

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Commentaires

  1. Pfff, impressionnant... Ca va être dur pour tout le monde de redresser tout ceal...

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  2. Rien ne va plus… plus rien ne va
    Sauve qui peut… mais personne ne le peut
    Personne ne peut plus sauver personne. J’ai du mal à communiquer sur le sujet mais on m’a prié de le faire
    Je vous préviens que c’est sans lieu et que ça tient en deux temps :
    Il n’y a pas de salut… il n’y aura pas de salut
    Ni pour les pays déficitaires comme la Grèce ou l’Espagne
    Ni pour les pays lacunaires comme la France ou l‘Allemagne
    Ni pour les pays totalitaires comme l’Amérique ou la Chine
    N’y songez même pas, il n’y a pas de remède pour ce genre de poison… ni de remise pour ce genre de crise.
    Nous sommes tous contaminés, irradiés par je ne sais quelle disgrâce divine.
    Quelques voix s’élèvent pour nous prévenir que nos chemins sont sans issue.
    Hier, j’ai découvert l’une d’entre elles glissée dans une bouteille jetée à la mer, je vous la restitue :
    « Quand je n’ai pas ce que je désire, je ressens la morsure du manque… atroce comme souffrance. Dès que j’obtiens ce que je désire,
    je ne désire plus rien et c’est l’ennui qui prend le dessus ».
    Signé : le plus pessimiste des maîtres à penser… Schopenhauer pour ne pas le citer. Souffrir ou mourir… c’est à vous de choisir.
    Cette course infernale est sans répit. Pire, c’est le fond et le fondement de tout le système qui fait la plus belle part à nos bulles financières… elles sont entrain d’éclater… et de nous annoncer la fin de la partie.
    La mort de tous ceux qui ont voulu la vie à tout prix. A n’importe quel prix. Au prix de renoncer à leur propre vie. C’est absurde mais c’est ainsi.
    Tout ou rien… disaient-ils…
    Ils ne disent plus rien… ils viennent d’ouvrir les yeux sur ces rimes à rien !

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  3. Étonnant, jamais vu ce genre de graphique dans un journal télévisé (que je regarde peu tellement ça m'énerve vite quand je vois la hiérarchie de l'information).
    Tu devrais peut-être leur envoyer?
    Mais j'imagine déjà la réponse de l'inévitable expert en économie de la chaîne, convoqué pour commenter : "oui, certes, mais ce n'est pas aussi simple que cela".
    Je ne sais pas si vous avez remarqué, c'est ce qu'on nous dit toujours, dès qu'une explication clair et simple nous est proposée : "ce n'est pas aussi simple que cela", sous-entendu, "vous êtes un peu simplet, vous n'avez ps fait les études qu'il faut, vous ne pouvez pas comprendre" en gros "circulez, y'a rien à voir."
    Faut pas troubler le petit jeu de ceux qui savent, les personnes autorisées (voir Coluche) qui s'autorisent des trucs entre elles.

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  4. En fait, non, Sarko n'a pas échoué, il a au contraire parfaitement réussi son programme : enrichissement des plus riches, casse des services de l'état, casse du droit du travail etc.
    De son point de vue c'est le jackpot.

    Je conseille de lire le livre de Naomi Klein : "La stratégie du choc : la montée d'un capitalisme du désastre". Ce qui se passe illustre parfaitement ce qu'elle soutient. Le capitalisme met à profit les crises (géopolitique, catastrophe naturelle, économique...) pour faire passer des réformes qui seraient inenvisageables autrement, en profitant de l'état de sidération des peuples et sur la base d'un discours qui est "dans ces circonstances il n'y a pas d'autre solution".
    Par exemple, dans cette crise économique, il n'y a pas d'autre solution qu'une politique de rigueur.
    Simple et efficace.

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