"Je crois pour demain comme hier à la victoire de la gauche, à condition qu'elle reste elle-même. Qu'elle n'oublie pas que sa famille, c'est toute la gauche. Hors du rassemblement des forces populaires, il n'y a pas de salut."
Mémoires interrompus (1996)
François Mitterrand
Il n'a pas du écrire beaucoup en 1996, pépère.
RépondreSupprimerUne pensée pour cet homme. On devrait construire un mausolée à Jarnac pour que tous les hommes et femmes de gauche puissent se recueillir et se ressourcer
RépondreSupprimerTrès belle citation, que d'aucuns feraient bien de méditer !
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